Trahison ? (père-turbation...)
Ne jamais dire jamais... Un week-end à Bordeaux : qui l'eut cru ? Frédéric Berthe y a tourné l'an passé Nos 18 ans. Aller sur les lieux du
tournage, comme ça, pour changer d'air, un besoin de repaires (re-père ?), aussi, sans doute. Un bisou aux amis (ils auraient pu choisir Toulouse, c'est splendide et le maire est socialiste
ça ne gâte rien), veiller sur la descendance, prendre enfin des nouvelles du Festival de Lussas (Ardèche) -Festival du film documentaire (menteur...?).
Celui de Pessac (pas très loin de la capitale girondine) -festival international du film d'histoire- se déroulera comme tous les ans en novembre. Préférer dans le même
genre celui de Blois, dans Le Loir et Cher (41) : une manière de rendre hommage à Jean-Marie Genard, prof d'histoire au Lycée Camille Claudel, un des papas de l'événement -Les
Rendez-vous de l'Histoire-, et quel événement ! Trève de digressions. Visiter le reste de la ville traversée par la Garonne, au passage ; certains disent qu'elle est
belle... On verra bien. Retrouver vite la capitale tourangelle. Marseille, désolé, vraiment. Mille excuses à Guédiguian et sa troupe. "Allez l'OM" quand même,
couillon ! Une pensée pour la cité phocéenne que le padre aimait tant, surtout Le Vieux Port. Le Stade Vélodrome c'est quand même autre chose que le
Chaban Delmas, non ? Il n'est plus là pour répondre. Hasta luego !
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